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La vie autour d'Handi'Chiens
chien d'assistence
3 juillet 2011

Un chien change tout

Aujourd'hui j'ai découvert cet article sur http://wamiz.com

J'ai eu envie de vous le faire partager. Sa montre une fois de plus que la présence d'un chien peut tout changé!

En France on a encore pas mal de travail à faire... Et l'avenacé peut ce faire grâce votre aide...

"Un chien d'assistance désigne l'agresseur d'une adolescente au tribunal

"Victime d'abus sexuels pendant quatre ans, une adolescente américaine de 15 ans a bénéficié du soutien d'une chienne d'assistance lors d'un procès.

En poussant du bout du museau le bras de la jeune fille, la chienne lui a permis de pointer du doigt celui qui l'a violé.

 

Une assemblée pendue au museau de Rosie

 

A l'occasion du procès qui visait à ce qu'une jeune fille victime de violences sexuelles désigne son agresseurRosie, une chienne d'assistance, a dû venir en aide à la victime.

Alors qu'elle s'apprêtait à donner le nom de celui qui avait abusé d'elle pendant toutes ces années, la jeune fille n'a pu faire sortir aucun nom de sa bouche... C'est alors que Rosie est intervenue. Elle a soulevé le coude de la victime à l'aide de son museau afin de lui donner l'élan nécessaire pour pointer du doigt l'agresseur.

Caché derrière la barre des témoins, Rosie ne pouvait pas voir qui se trouvait sur le banc des accusés.

L'homme désigné a finalement été reconnu coupable et encourt jusqu'à 25 ans de prison.

 

Des chiens d'assistance formés pour les tribunaux

 

Rosie, une Golden retriever de 11 ans n'est pas une chienne comme les autres. « J'ai remarqué tôt que Rosie était vraiment spéciale », raconte Dale Picard, l'homme qui l'a éduqué. « Elle avait le don de calmer les enfants », explique-t-il.

Dale Picard forme des chiens d'assistance capables de soutenir des enfants dans les tribunaux. Son organisation a déjà permis de former 200 chiens qui travaillent actuellement pour la justice de plus de 12 Etats américains.

 

Le tribunal de Poughkeepsie qui devait recevoir la déclaration de l'adolescente avait d'abord refusé d'accueillir Rosie. Finalement, les arguments de Dale Picard ont fini par convaincre la Cour.

« Je suis persuadée que s'il y a quelque chose que nous pouvons faire pour aider une victime et que c'est légal, nous avons l'obligation de le faire » a finalement avoué Kristine Hawlk, la représentante du ministère public lors du procès. « Rosie était totalement discrète. Elle a fait exactement ce que l'on attendait d'elle », poursuit-elle.

C'était la première fois qu'un tribunal de l'Etat de New-York faisait travailler un chien.

 

Un soutien précieux

 

« Le chien aide la personne à changer son état d'esprit, il l'aide à s'ouvrir et parler », explique l'éducateur de Rosie. « La plupart de temps, les enfants sont traumatisés par ce qu'ils ont vécu », explique une assistante sociale proche du dossier.

« Ensuite, ils sont mis dans une salle de tribunal pleine d'étrangers, on les questionne sur desévénements douloureux en face de leur agresseur... », raconte-t-elle. Il est alors facile de comprendre l'appréhension des enfants et la difficulté à s'exprimer qu'il en découle.

Pendant six semaines, Rosie est restée avec la petite victime dans une maison pour enfants. L'assistante sociale se rappelle qu'un changement immédiat s'est opéré chez la jeune fille. « Je pouvais voir physiquement son anxiété diminuer au contact de la chienne », explique-t-elle.

 

Maintenant que Rosie a fait ses preuves, les éducateurs de chiens d'assistance espèrent que cette pratique va se généraliser à New-York.

Rosie devrait bientôt soutenir deux petites filles à l'occasion d'un procès qui tentera d'identifier le meurtrier de leur mère."

 

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3 juin 2011

Dans cette émission en seconde partie nos animaux

Dans cette émission en seconde partie nos animaux "thérapeutes" et les chiens d'assistance suisse "le copain"

http://www.tsr.ch/emissions/36-9/3089908-36-9.html?timestamp=20110602234657

 

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31 décembre 2010

Assurance santé pour eux ou pas?

"Nous bénéficions tous d'assurances : maison, voiture... Mais qu'en est-il de nos animaux ? De plus en plus proposées par les assureurs, elles semblent pourtant susciter la méfiance des maîtres de chiens et de chats. La Fondation 30 Millions d’Amis vous guide pour faire le bon choix.

4% d'animaux assurés en France contre 30% au Royaume-UniAssurer son animal est un fait nouveau. En Europe, l’idée fait peu à peu son chemin. Mais en France, où pourtant un foyer sur deux possède un animal de compagnie, les maîtres sont en retard par rapport à leurs voisins de l’Union : seuls 4 % ont en effet franchi cette étape, contre 30 % au Royaume-Uni. Toutefois, avant de se décider, il faut se poser les bonnes questions.

Responsabilité civile ou assurance ?

Il faut bien distinguer ces deux options. La plupart du temps, la responsabilité civile (RC) est incluse dans les contrats multirisque habitation qui assurent tous les membres de votre famille, y compris vos animaux de compagnie. Elle assure la prise en charge par une compagnie d’assurance des coûts relatifs à des dommages corporels, matériels et immatériels. Autrement dit, elle couvre financièrement le propriétaire de l’animal si celui-ci est à l’origine de blessures et de détériorations. L'article 1385 de Code civil précise en effet que le propriétaire est responsable des actes de ses animaux et des dégâts qu'ils occasionnent. D’ailleurs, elle est obligatoire pour les chiens de première et deuxième catégorie (loi du 9/01/99, NDLR).

Une assurance, désigne une couverture financière qui, selon les différents prestataires, prend en charge les soins bénins (vaccins, stérilisation) et/ou lourds (opérations chirurgicales, examens radiologiques), à l’image d’une mutuelle à laquelle on verse une cotisation mensuelle. Cette police d’assurance n’est pas obligatoire mais peut se révéler très intéressante, notamment en cas de voyage : certaines compagnies prennent en charge les soins dispensés à l’étranger pendant 90 jours. Ce type de contrat est intéressant si votre animal est amené à vous accompagner dans d’autres pays plusieurs fois par an, ou si vous vous installez dans un pays où les frais vétérinaires sont élevés.

Bien lire le contrat

Il s’agit – par la souscription d’une police d’assurance spécifique à votre animal – d’anticiper les futurs bobos dont il pourrait souffrir. Et de vous couvrir lorsque ces derniers nécessitent un coût qui peut être conséquent !

Et comme pour les personnes, les assurances pour animaux comportent de nombreuses restrictions. Ainsi, les animaux considérés comme dangereux, à l’instar des chiens classés en catégories 1 et 2, sont parfois refusés, ou coûtent plus cher. Il en est de même pour les animaux présentant des situations à risque ou qui peuvent se blesser fréquemment, comme les chiens de chasse notamment.

Autres conditions exigées par les compagnies d’assurance : l’âge de l’animal doit en général être compris entre 3 mois et 7 ans, et il doit être identifié, par tatouage ou puce électronique. Et de nombreux animaux ne sont pas encore concernés par ce type de contrats – les nacs par exemple – les assureurs privilégiant les chiens et les chats.

Autre détail qui a son importance, le plafond annuel des frais remboursés. Selon les compagnies, il varie du simple au double ! A chacun de bien lire les clauses du contrat et éviter ainsi les mauvaises surprises.

Frais vétérinaires, une charge importante

Un chien (alimentation, vaccins, soins) coûte en moyenne 1 680 euros par an, tandis qu’il faut compter 1 200 euros pour un chat. Un budget non négligeable auquel s’ajoutent chaque année les rappels des vaccins, et parfois des imprévus extrêmement coûteux."

Source: Fondation 30 millions d'amis


Et vous assurance où pas?


Faut-il assurer son animal ?
envoyé par 30-Millions-d-Amis. - Regardez des vidéos d'animaux drôles.

14 juillet 2010

Des "Handi'chiens" en Guadeloupe

Grâce à un partenariat entre Handi'chiens et Flam'RG (Fédérer la lutte et les actions contre les maladies rares et génétiques), 10 chiens d'assistance sont a présent avec leurs maitres guadeloupéen.

Aujourd'hui Flam'RG est devenue une association référente en Guadeloupe. Ainsi, les personnes qui auront besoin de chiens d'assistance pourrons s'adresser à elle, qui sera en mesure de leur expliquer toutes les démarches à effectuer.

1er
Avel et Avril et leurs maitres
Alexandre et Viviane.

Les derniers chiens Dalton, Dickens, Dexter, Dundee et Dakota,sont arrivés fin juin. Ils ont étés éduqués au centre d'Alençon comme les 5 premiers chiens "guadeloupéen".

nouveau
"Les nouveaux"

L'association  Flam'RG espère deux ou trois chiens de plus l'an prochain.

Quelques articles de presse:

"Une journée pour montrer l'efficacité des chiens d'aide aux handicapés"

"Des chiens qui changent la vie"

"Des chiens d'assistance pour l'association FLAM'RG"

"Cinq nouveaux chiens d'assistance pour aider les personnes handicapées"


10 juin 2010

Un futur chien d'exeption

Je vous invite à suivre l'aventure de "Folie" future chienne d'assistance.

Elle à deux mois et viens de rejoindre sa famille d'accueil

http://foliehandichien.skyrock.com


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10 juin 2010

Dana chienne d'éveil

Dana qui va maintenant accompagner la vie d'Alicia aura un rôle particulier celui de chienne d'éveil.

Dana a suivie la même "formation" que les autre chien d'assistance, elle sait accomplire le 50 ordres comme:

- ramasser et rapporter un objet hors de portée d’une personne handicapée : à terre, en hauteur, dans un placard, sous un meuble… Les chiens sont entraînés à saisir et transporter, sans les abîmer, toutes sortes d’objets, depuis une carte de crédit jusqu’à une bouteille d’eau minérale en passant par une paire de lunettes, un trousseau de clés, une télécommande ou une pièce de monnaie…

-ouvrir ou fermer un tiroir, une porte, qu’il s’agisse d’une porte d’entrée ou d’une porte de placard,

- accompagner son maître dans les magasins et l’aider à effectuer une transaction : face à un comptoir inaccessible pour une personne handicapée, le chien pourra tendre un porte-monnaie puis récupérer un objet qui lui est tendu, comme un sac ou un billet …

-aboyer sur commande pour prévenir l’entourage en cas de problème,

- aller chercher et rapporter à son maître le téléphone sans fil de la maison par exemple

-appuyer sur un bouton pour allumer la lumière, appeler un assenceur

La différence pour un chien d'éveil réside dans le fais que, "C'est un chien confié aux parents d'un enfant qui ne peut pas donner les commandes :
- Enfant polyhandicapé,
- trisomique,
- atteint de la maladie de Rett,
- autiste...
"

Le rôle du chien est de stimuler et éveiller l'enfant. Il également la sérénité et aide au contact envers l'autre, tout comme le chien d'assistance.

Cet article et rédigé après lecture du blog de la famille d'Ewok, certaines parties en sont extraites

http://ewok-handichiens.skyrock.com/2878267804-chien-d-eveil.html

       


1 mai 2010

Mon envie d'un chien d'assistance

Avant le 31 octobre 2009, il y a eu le souhait de rester autonome sans sentiment de dépendance.

 

Le chien d’assistance me semblait depuis longtemps être une réponse à mes besoins, même si j’ai eu la sensation de « ne pas y avoir droit ». Je pensais que ces chiens était réservés à des personnes avec des handicaps « lourd ».

 

Cette impression, je l’ai eu lors de ma 1er rencontre avec un Handi’Chiens. Jim le chien de Jasmine. C’était il y 13 ans environ, j’avais alors 12 ans. Jasmine était poly-handicapé j’ai alors pensé bêtement « moi je n’y ai pas droit ». J’ai bien cherché à ce moment là par tous les moyens à en savoir plus, le seul résultat n’arriva que 2 ou 3 ans plus tard.

Lors d’un salon consacré au handicap où je me trouvais avec mes parents.

 

Ce jour la, j’ai eu le plaisir de pouvoir poser toutes mes questions (même si j’ai du insister un peut pour que mes parent veulent bien aller voir). On m’a dit que je pouvais faire une demande mais que le temps entre celle-ci et l’attribution est alors très longue, de plus le nombre de chiens attribués est limité.

Je repars alors avec espoir et rêve. J’avais alors oublié que les parents ne sont pas très partants pour un chien. Mon rêve et alors resté là, à l’intérieur de moi. 

 

J’ai continué ma petite vie toujours avec l’idée de faire tout de façon la plus ordinaire possible.

Je réussi pas trop mal, malgré le besoin d’auxiliaire, l’arrivée du fauteuil électrique, les opérations, les idiots …

 En septembre 2008 j’étais bien, j’avais trouvé un emploi (en alternance), j’étais chez moi autonome… J’avais trouvé mon rythme, ma place et puis en 2009 il y a eu les grains de sable, une perte d’autonomie dure à vivre, une remise en question total. En effet, je ne pouvais plus faire plein de gestes du quotidien. Devais-je supporter « l’humiliation » de la présence d’une auxiliaire lors de l’absence de mes proches ? Je ne pouvais l’imaginer ! J’aurai alors perdu plus qu’une liberté de mouvement, ma sérénité morale. Il fallait faire quelque chose !

 

C’est Margot une amie handicapé, rencontré en 2007 qui me mis devant les yeux une solution. Handi’Chiens !

 

Margot a quand à elle « sauté le pas » et reçu Black en octobre 2008. Depuis, je la voyer avec « envie » sans trop en parler.

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(Margot et Black)

Un jour alors que l’on parlais de « mes soucis » elle me dit : Pourquoi tu ne fait pas une demande à Handi’Chiens ? ». De mon coté l’envie est toujours aussi fort « mais ai-je le droit ? Vais-je pouvoir m’en occupé ? » et puis je ne suis pas seul Ivan (mon compagnon) va-t-il vouloir m’accompagner dans cette démarche ?

Une fois cette dernière question résolu je me suis jetée à l’eau, nous sommes alors le 15 juillet 2009 ; là une demande de « dossier de candidature » auprès du centre de Lyon.

Quelque jours plus tard, je remplie ce fameux document et le renvoie aussitôt. Là commence la première période d’attente. Quand la réponse va-t-elle arriver ?

 

Le 17 aout l’appel tant attendu arrive. Je suis en vacances avec Ivan et mon papa (j’aurai aimé que maman soit aussi en vacances), lorsque je comprends que Maryse Peytavin la responsable du centre Handi’Chiens de Lyon veut me voir, je comprends que c’est possible que rêve et réalité peuvent ce retrouver.

Une semaine plus tard, avec Ivan nous sommes à Lyon (pour raisons pratique c’est nous qui nous sommes déplacés) pour le rendez-vous, qui permettra à l’équipe de mieux me connaitre, de cerner mes besoins, et donc de me proposer le chien qui me va le mieux.

Après ça les dés était jeter ! A eu de choisir !


Je ne pensais pas que la suite irai aussi vite. Le soir même j’apprenais que je participerai au prochain stage de passation en octobre 2009. Ce stage est un passage obligé c’est là que l’on va rencontrer notre compagnon de route et que la relation va ce faire.

 

L’attente entre aout et octobre fut interminable. Je ne parlais que de ça, j’ai du en faire « baver » à mes proches. Je pense tout simplement que je n’y croyais pas !

Je cherchais tout et rien sur le sujet. Comment c’est après ?

 

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